Publié le 18 décembre 2020

Agir contre l’homophobie et la transphobie dans les lieux de formation

Les moyens et les mesures engagés depuis 2017 en vue de l’amélioration du climat scolaire, et notamment de la lutte contre le harcèlement sous toutes ses formes, continuent à se déployer dans l’école vaudoise. Le secrétariat général du DFJC se renforce ainsi avec l’arrivée de la chercheuse, formatrice et consultante Caroline Dayer. Elle travaille depuis le 1er septembre 2020 contre le harcèlement et pour la  défense de l’intégrité des élèves et des enseignants. Son rôle consiste également à fixer les grands axes d’une politique orientée sur la prévention de l’homophobie et de la transphobie, ainsi que sur l’inclusion des personnes LGBTIQ (lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, intersexes, queer ou en questionnement). Autrice de différents ouvrages et articles scientifiques, elle conçoit aussi des outils pédagogiques, des guides pratiques et des dispositifs de formation.

Julien Schekter - SG

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Un Salon des métiers au format numérique

Le Salon des métiers n’ayant pas pu avoir lieu en novembre en raison de la situation sanitaire, il se transforme et devient numérique. Pour soutenir les jeunes en fin de scolarité obligatoire dans leur choix d’une future voie professionnelle, plusieurs activités en ligne leur seront proposées. Tout d’abord, un film sera diffusé en début d’année prochaine à l’intention des classes de 10H pour leur présenter le nouveau concept de l’événement. Ensuite, dès ce printemps, les jeunes et leurs parents pourront assister à des webinaires avec des professionnels, pour découvrir plus en détails les domaines professionnels et les métiers qui les intéressent et pourront également poser toutes leurs questions. Un agenda rassemblera les dates de toutes les manifestations ainsi que les modalités d’inscription.

Carole Scheurer - DGEP

 


Parlons cash !

Aujourd’hui, dans notre canton, environ 4'000 jeunes de 18 à 25 ans ne sont pas à jour avec leurs acomptes d’impôt à payer mensuellement. Ils risquent ainsi de se retrouver l’année suivante, lors de la taxation, avec une facture d’impôt à payer dans les 30 jours tout en devant s’acquitter des acomptes pour la nouvelle année. Si un-e jeune qui débute une activité professionnelle ne paie pas d’acomptes, il lui faudra alors deux ou trois ans pour se remettre à flot s’il n’a pas d’économies. Rappelons que dès leur majorité, les jeunes, même sans revenu, ont l’obligation de remplir une déclaration d’impôt, au risque sinon d’être taxés d’office avec des amendes.

Pour interpeller les jeunes sur l’importance de demander des acomptes dès réception de leur premier salaire, une nouvelle vidéo est diffusée sur les réseaux sociaux. Ce nouveau clip, qui a impliqué trois départements (DSAS-DFJC-DFIRE), s’inscrit dans le cadre du programme cantonal de prévention du surendettement « Parlons cash ».

Frédéric Cerchia - DGEJ

 


Quatre nouveaux projets artistiques pour les classes

L’appel à projets « La culture, c’est classe ! » vise à encourager et soutenir des projets culturels faisant collaborer élèves, enseignants et artistes vaudois. Porté par le Service des affaires culturelles (SERAC), il est doté d’un montant total de 20’000 francs octroyé en quatre enveloppes de maximum 5'000 francs. Pour l’année 2020-2021, le jury a retenu quatre dossiers: Les écouteurs de la forêt permettant à une classe de 1-2P de l’Établissement primaire de Morges Ouest de s’initier à l’univers sylvestre; Le livre de a à z offrant l’opportunité à une classe de 3P de l’Établissement primaire de Mon-Repos de découvrir les étapes de réalisation d’un livre; Suffragettes regroupant trois classes de 10 et 11S de l’Établissement secondaire de Felice à Yverdon-les-Bains autour de la création d’un spectacle portant sur les luttes féministes; et un jeu de société futuriste intitulé Terraformation abordant avec trois classes de la 9 à la 11S de l’Établissement scolaire des Bergières des aspects écologiques et économiques.

Diana Pétament Martinez - SERAC

 


Visions du Réel at School

Visions du Réel lance une plateforme de vidéos à la demande, disponible toute l’année, proposant des films issus de différentes éditions du Festival adaptés au programme scolaire et accompagnés de fiches pédagogiques sur mesure. Cette nouvelle offre a pour vocation d’initier les élèves à la fois au cinéma du réel, à l’image en mouvement et aux multiples réalités du monde contemporain.

Nadège Roth - DGEO

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