Nos lieux de formation n’ont pas été épargnés par la crise. Celle-ci a bien sûr généré de la crainte, de la confusion, de l’énervement, de la solitude, de l’incompréhension et beaucoup de fatigue. La crise a aussi rendu visible, avec ampleur, les inégalités socio-économiques et les décrochages des élèves, les différences dans leurs degrés d’autonomie et les fragilités familiales.